Les micro-organismes ne sont pas tous pathogènesLes parasites appelés communément "microbes" sont omniprésents à l'intérieur de notre organisme. Contradictoirement aux affirmations de Louis Pasteur, nous savons aujourd'hui que ces microbes, ne viennent pas systématiquement tous de l'extérieur, ils sont présents à l'intérieur, aussi, de façon endémique et ils ne sont pas tous nocifs. Ils ont pour la plupart, une utilité certaine.
Par exemple, les bactéries participent activement et utilement à la dégradation et à l'assimilation des matières du bol alimentaire intestinal (Lactobascillus, Escherichia). Ou bien certains champignons qui sécrètent des enzymes fortes utiles ou des antibiotiques naturels (Péniciline). Ces micro-organismes occupent des niches particulières où ils vivent en "bonne intelligence" avec leur environnement et prospèrent, sous la surveillance de notre système immunitaire. Certaines bactéries colonisent pacifiquement les parois et forment, ainsi une couche supplémentaire de protection contre les agressions pathogènes. Ils ne sont considérés comme "pathogènes" que lorsqu'ils échappent au contrôle ou que leur population croît de façon disproportionnée au détriment d'autres populations. Les causes sont diverses: Des régimes alimentaires inappropriés, des pollutions aux métaux lourds ou aux produits chimiques, des évènements stressants peuvent créer un déséquilibre du terrain.
D'autres causes comme des traitements chimiques ou antibiotiques qui détruisent assurément les bactéries qui sont à l'origine du symptôme, mais qui touchent aussi les voisines innocentes. Bien souvent, cette place laissée vide, favorisera le développement d'autres parasites, comme les champignons: muguets et candidas. Dans ce cas le remède semble pire que le mal. Ceci occasionne peu à peu, à la longue, des dégâts sur l'organisme, sur les parois, des inflammations et, en fin de compte, certaines maladies qui deviennent chroniques.Il ne sert à rien de vouloir éradiquer totalement tous les "microbes", l'idéal est plutôt de les réduire, de façon ciblée, à une proportion supportable par l'organisme.
La fréquencethérapie est une méthode particulièrement intéressante pour réduire de façon ciblée, tel ou tel type de parasite sans occasionner d'effets collatéraux sur les autres micro-organismes.