Energescence

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Principe de la Biorésonance
                                    Ondes et système ondulatoire

Qu'est-ce qu'un système oscillatoire
 
L'oscillation est le phénomène par lequel l'énergie du système passe d'une forme à l'autre, de façon périodique.
Tout ce qui est cyclique et périodique peut être décrit comme un système oscillatoire.
La vision oscillatoire, sous forme d’ondulation n’est que la projection dans le temps, d’une mouvement cyclique périodique. Vous connaissez, tous, la forme sinusoïdale qui est un cas particulier, c’est la transformée cyclique d’une rotation sur la course d’un cercle parfait. Dans des cas plus généraux, ce seront des transformées (projections ondulatoires) amorties ou amplifiées suivant la forme des diverses courses ellipses, spirales, orbites, vortex ou  tourbillons.
rotation oscillation
Dans un système ondulatoire ou vibratoire, les ondes qui s’en échappent sont caractérisées par une fréquence (déterminant la longueur d’onde) et une amplitude (déterminant la puissance).

Ces ondes ont leurs vies propres et vont cheminer éternellement. Je dis « éternellement » car l’onde, ou du moins sa partie quantique, n’est pas identifiable dans l’espace, elle possède sa vitesse propre dite vitesse de propagation qui est constante et immuable tant qu'elle ne rencontre pas d'obstacle. De cette façon, elle fixe elle-même son propre temps. Par conséquent, intrinsèquement, dans son temps propre, elle est « éternelle ».
Pour se propager, ces ondes ont besoin d’un support physique appelé « substrat », ce peut être l’air dans le cas du son, la chaleur et les émissions radios, l’eau pour les vaguelettes d’un caillou tombé à la surface d’un étang.
 
Alors que les propagations d’ondes au travers de l’air et de l’eau se transmettent de proche en proche par une bousculade de matière (effet dominos). D’autres ondes issues des rayonnements électromagnétiques comme la lumière n’ont pas besoin de substrat pour se propager. Ces ondes particulières formées de champs électriques et magnétiques oscillants  dits électromagnétiques se propagent au travers du vide sidéral quantique sans aucun substrat.
champ electromagnetique
A ce propos, Albert Einstein, pour qui la propagation d’onde nécessitait obligatoirement un support matériel, ne pouvait s’expliquer celle de la lumière au travers du vide sidéral, qui, par définition, ne pouvait être considéré comme substrat. Il a longtemps cherché « l’Ether », le substrat matériel du vide. Cette contradiction fût levé lorsqu’il proposa un compromis avec sa théorie de la relativité restreinte qui admet que le photon (la partie quantique de la lumière ; le quanta), bien que n’ayant, théoriquement pas de masse et ne pouvait donc pas s’appuyer sur un substrat de matière, pouvait malgré tout surfer sur un support, dit : "quantique". La physique quantique réinvente l'éther sans le nommer sous l'appellation d'énergie quantique du point zéro et admet donc qu'il puisse se propager dans le vide au travers d’un substrat dit «de vide quantique ». Sa théorie:  E = mC² , était sauve.
En fait, le photon est un cas particulier parmi d'autres particules. Alors que la plupart sont vues, soit comme des corpuscules, soit comme des ondes. Le photon, lui, n’est vu que comme une onde puisqu'il est de masse nulle.

Les fronts d’onde se propagent à vitesse constante dans le milieu. La vitesse de leur source n’influence pas la propagation de l’onde, mais elle influence les périodes ou longueurs d’onde reçues par les objets ou observateurs immobiles dans le milieu d’onde.

Ondes sphériques :
fonction onde
 
Emprunté au magnifique site de Gabriel LaFrénière

Ondes stationnaires :

Ondes scalaires :
les ondes scalaires. Ces ondes, en forme de spirale sont bien différentes des ondes électromagnétiques car elles sont en forme de spirale (comme notre ADN ou comme les protéines). Elles sont capables de porter à des milliers de kilomètres sans s'affaiblir et sont déjà employées expérimentalement pour soigner.

"Ces ondes sont de forme spirale ou longitudinale et non pas sinusoïde ou transversale comme les ondes électromagnétiques, ce qui explique qu’elles soient très pénétrantes et qu’elles soient reçues par des antennes de même forme : or les ADN de chaque cellule d’un végétal, d’un animal ou d’un être humain sont de forme spirale ou hélicoïdale ; de même les protéines sous leur forme active. Chaque parcelle d’un corps vivant est donc un récepteur à ondes électriques spirales ou ondes scalaires. "         Hervé JANECEK 

Les ondes peuvent donc interagir entres-elles, se croiser, se dissocier et donner naissance à de nouvelles. Cela aura un impact sur leur forme, en particulier l’amplitude et la fréquence.
Lorsque deux ondes de fréquences différentes vont se rencontrer, leurs  amplitudes et leurs fréquences propres vont se mêler et générer de nouvelles harmoniques issues de ces mêmes ondes. De même, et c’est là que c’est remarquable, lorsque deux ondes de même fréquence vont se mélanger en une nouvelle. Elle aura aussi la même fréquence, mais l’amplitude (puissance) sera l’addition des deux premières.
graphe interférence
Dans le cas où deux ondes sont dites « en phase », c'est-à-dire qu’elles se juxtaposent parfaitement avec la même fréquence, l’addition des deux amplitudes sera amplifiée. Par effet de cascade, il est théoriquement possible d’atteindre des amplitudes phénoménales, à partir de faibles ondulations.
Autre cas de figure, non moins remarquable, lorsque deux ondes dont les fréquences seraient en « déphasage » d’une demi onde l’une de l’autre (opposition de phase) et donc d’amplitude opposées, verra la nouvelle onde résultante totalement neutralisée. Complètement muette. Il est, donc, théoriquement, possible de rendre un son parfaitement inaudible.

Au cours de sa longue vie, l’onde va donc cheminer, se difracter au grès des obstacles, se réfléchir et subir des interférences avec d’autres ondes. Quelque soit la longueur du parcours, les déformations des obstacles et les recombinaisons résultantes, l’onde se propage à l’infini. Ce sont en fait, ces interférences, ces nœuds ondulatoires qui représentent des points singuliers, véritable interaction avec la matière.

« La matière et ses propriétés ne peuvent pas être expliquées sans le mouvement d'ondes. La matière n'est pas un principe ontologique premier, fondement de l'univers. La masse et les autres propriétés des particules résultent de la dynamique et de la géométrie d'ondes. »      Youri IVANOV

 
Le phénomène des interférences
Une onde qui ne rencontrerait aucun obstacle est appelée à errer indéfiniment vers une mort informelle et informationnelle. Il en est ainsi, la vie, la mise en forme de la matière, nécessite un enchevètrement d'ondes diverses pour créer. L'interférence c'est la mise en forme.
onde de forme
De la même manière qu'en physique, l'accelération est constructrice, alors que la vitesse constante est reductrice.
Nos sens ne perçoivent que les différences vibratoires, les nuances d'interférences.
 
" Beaucoup sinon tous les systèmes sensoriels sont des détecteurs vibratoires. De ce fait, la vibration est une des caractéristiques les plus importantes des énergies en nous et autour de nous. En d'autres termes, toutes les énergies sont virtuellement rythmiques. Elles sont très rarement constantes, variant dans le temps souvent sous la forme de pulsations ou d'oscillations."        James L. OSCHMAN

C'est parce qu'il existe des franges d'interférences avec des nuances de tonalités différentes que nos appareils sensoriels peuvent les capter et les distinguer.
Au niveau du spectre de la lumière visible et des couleurs fondamentales, les franges d'interférences entrecoupées de vide et d'excès quantiques nous permettent de distinguer le jaune du vert de l'arc en ciel. Les couleurs ne sont le resultat que de frange d'interférence...
frange couleur

Pour la musique, c'est identique. Ce sont les silences entre les notes, les similitudes d'octaves et les rythmes harmoniques qui font la richesse de la mélodie. Un son à fréquence et amplitude constantes n'a pas de texture.

La vie est mouvement. Il faut que ça bouge ....
La résonance, une interférence particulière
Ce phénomène implique la présence de deux systèmes oscillants, un émetteur et un autre récepteur.
Lorsque la fréquence de l’émetteur correspond exactement à la fréquence propre du récepteur, il se place dans un état de stabilité.
En résumant et pour faciliter la compréhension du lecteur (les scientifiques et les puristes me pardonneront), la résonance est un état singulier de stabilité entre deux systèmes oscillants.
Le système en résonance, est un état de fine stabilité, il est en équilibre instable. Si bien que dans ce domaine : Petites causes = Grands effets….Une infime différence d’oscillation, dans un sens ou dans l’autre, peut le faire basculer. De même, Il suffit d’une impulsion ridicule envoyée au moment adéquat pour avoir, par effet de cascade, des résultats démultipliés. A l’inverse, une faible impulsion en opposition de phase (anti résonance parfaite) pourra annihiler des énergies colossales.

Dans cet état de résonance, il se passe des choses......

Et de ces choses, nous nous en servons au quotidien, notamment en acoustique, en électronique et en informatique Mais on va le percevoir plus-tard, aussi dans la communication entre les êtres vivants.

De façon statique, vous connaissez sûrement le principe du diapason en émission, qui lorsqu’on le frappe, émet une vibration très stable, sa « fréquence propre ». C’est sa forme et sa structure intrinsèque qui détermine sa fréquence propre. Donc à chaque diapason correspond une fréquence propre. Le diapason de la note, (LA), par exemple, vibrera de façon constante et continue, à 440 Hz depuis 1953 (432 Hz initialement) qui est sa fréquence de résonance propre.
Mais connaissez-vous le principe du diapason en réception ? Le son se déplace en « surfant » sur une vague matérielle qui bouscule de proche en proche toutes les molécules d’azote et d’oxygène, composant l’air. Celui-ci devant garder sa cohésion, n’a d’autre choix que de plier et d’onduler tel un roseau. Si cette ondulation mécanique rencontre, sur son passage, un deuxième diapason accordé sur la même fréquence. Celui-ci va se mettre, automatiquement, en vibration à la même fréquence que le premier. Et, ce, sans aucun apport d’énergie mécanique, supplémentaire.
Ce qui est d’autant plus remarquable, c’est que l’on retrouve le même phénomène entre deux objets qui n’ont, ni la même forme, ni la même structure, mais qui possèdent la même fréquence de résonance. L’expérience d’un diapason (LA) mettant en vibration, à distance, la corde du (LA) d’un piano ou d’un violon est édifiante. Encore plus surprenant, c’est que le phénomène est réversible, c'est-à-dire depuis la corde vers le diapason.
Que dire de deux diapasons de même fréquence de résonance qui seraient frappés avec la même force et exactement en même temps ? Le son s’en échappant ne serait-il pas inaudible ? Ou serait-il multiplié par deux ?

De façon dynamique, le principe de résonance est utilisé pour identifier une fréquence particulière au milieu d’un fatras d’autres fréquences. En balayant ce brouillard d’ondes le récepteur va réagir au moment où son système oscillatoire propre sera exactement en phase, en accord, avec une des fréquences émises. Il se comporte alors comme un filtre de fréquence.

Cette propriété est utilisée dans votre poste de radio. Parmi toutes les ondes captées par l’antenne, vous ajustez le choix de la fréquence par le bouton sélecteur et n’écoutez qu’une des stations possibles. Le poste de radio est, dans ce cas, un scanneur de fréquence.

Vous souvenez-vous de ces boîtiers informatiques baptisés « MODEM » acronyme de MOdulateur/DEModulateur ? Ils fonctionnaient sur le principe d’émission/réception d’une onde parfaitement identifiée par les deux communicants, la « porteuse ».
Du côté émetteur, à l’onde émise (porteuse), on juxtapose un signal quelconque. C’est donc une addition = Modulateur.
De l’autre côté, le récepteur sépare le signal de la porteuse, c’est une soustraction=Démodulateur.
Ce dernier exemple, nous amène à réfléchir sur l’importance de la résonance dans la communication de deux systèmes vibratoires.

La communication ne peut se faire qu’au travers d’ondulations, alors que la transmission (compréhension) ne se fait qu’en résonance.

Il en va des choses comme des êtres vivants. Pour que deux personnes puissent échanger, il faut qu’elles ouvrent un dialogue et pour qu’elles se comprennent, il faut quelles soient sur le même registre. D’ailleurs ne dit-on pas « Etre sur la même longueur d’onde » ….
Ensuite, l’image du MODEM évoque l’importance primordiale de l’information. Qu’est-ce qu’on retire d’une communication, après démodulation ? Quelle est le but d’une communication si ce n’est de transmettre quelque chose, une information.

La compréhension permet de faire passer des informations.

Ramené aux principes des rapports humains, ce serait : faire passer une idée, donner son accord à une idée.
Pour résumer :
RESONANCE = ACCORD VIBRATOIRE
RESONANCE = TRANSFERT D’INFORMATION
 
La Biorésonance résonance du vivant
La biorésonance est la technique qui vise à recevoir ou emettre des informations dans le Vivant. Son utilité est de quantifier le niveau d’homéostasie du terrain ou dit plus poétiquement de l’état d’harmonie du Vivant. Elle permet, d’une part, de détecter une distorsion vibratoire, au sein des métabolismes cellulaires. Et d’autre part, cette technique permet dans l’autre sens, de ré-harmoniser ces relations cellulaires.

Maladroitement appelée, souvent, thérapie quantique ou pire, médecine quantique, qui n’a de quantique que les conséquences du paradoxe  onde/corpuscule, et de médecine, que la respectabilité recherchée d’une pseudo science, plus ou moins ésotérique. Qu’y a-t-il de moins déterminé que le quantique ? Vouloir donner une contenance à des faits scientifiques en utilisant l’adjectif « quantique » va à l’encontre de l’idée que l’on souhaitait soutenir. Lorsqu’on fait appel au terme quantique, c’est justement pour expliquer, le contraire, que rien n’existe comme on l’observe et que tout est élevé au rang de probable, possible et potentiel. Pour ma part je souscris plus simplement et plus honnêtement au terme de « vibratoire » ou « énergétique ».
Dans le cadre physiologique et biologique, nous savons depuis les travaux d’Alexander GURWITSCH, que les êtres vivants et même les cellules dialoguent entre elles, en permanence. Cette communication se fait sous le mode vibratoire.
Alexander GURWITSCH découvre une émission « ultra–faible » de photons ultra-violets par les tissus vivants.
George LAKOVSKY (1869 - 1942), un scientifique et ingénieur d'origine russe qui vivait en France, a été le premier à mentionner que les cellules et leurs noyaux pouvaient être considérés comme des oscillateurs biologiques. Ils se transmettent des informations en émettant des ondes électromagnétiques.
George. Lakhovsky avait compris que tout être vivant est animé d'énergies vibratoires spécifiques qui sont soumises à des lois aussi rationnelles que celles du monde matériel. Lorsque nous le lisons, il n'y a plus d'opposition entre l'irrationnel et le rationnel, l'invisible et le visible, l'inconscient et le conscient, l'esprit et la matière. L'être devient un TOUT animé par la LOI. »
 
« La cellule est constituée schématiquement par le protoplasme entouré par la membrane cellulaire. Dans le protoplasme, est plongé le noyau constitué par des filaments tubulaires contenant le liquide conducteur enveloppé dans une substance chromatique isolante. Cette cellule peut être considérée comme un circuit oscillant microscopique douée d’une longueur d’onde déterminée fort courte. Le noyau rappelle, en effet, le circuit oscillant de Hertz, car il est assimilable à un véritable circuit électrique doué de self-induction et de capacité, et par suite, susceptible d’osciller et de résonner à une fréquence très élevée.
La bobine d’induction est constituée par la spire que présente le filament du noyau, le condensateur est formé par la capacité entre les deux extrémités du filament.
Les cellules vivantes, d’après leur constitution sont donc capables d’osciller et d’émettre des radiations. » George LAKHOVSKY
 
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